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Comment repérer un bon* vendeur ?

Cette astuce aurait dû s'intituler "Comment repérer un mauvais vendeur?".

En effet, elle vous permettra surtout de ne plus perdre de temps en boutique avec un vendeur "has-been".
Un vendeur de l'ancienne école si vous préférez. Car l'avenir est de s'adresser à des vendeurs modernes, dans l'ère du temps, des vendeurs dont les techniques commerciales sont à jour.
Normalement, si les techniques ont été bien mises à jour, elles jouent en votre faveur!

Vous êtes entré dans la boutique et on vous a salué. Vous regardez dans les rayons et le vendeur se rapproche alors un peu de vous.
S'il vous aborde avec une question du type:

" Je peux vous aider?"

ou
" Je peux vous renseigner?"

ou bien
"En quoi puis-je vous être utile?"



Bref s'il commence par une question (il existe d'autres variantes qui vont dans le même sens) de ce genre, même si cela est fait avec le plus grand sourire et le plus poliment du monde:
- Il n'est pas un vendeur 2.0!!

(Je reviendrais plus en détails dans un prochain article intitulé "Le vendeur: beaucoup de choses, mais pas un super-héros", pour vous expliquer pourquoi je suis aussi tranchant.)

Le vendeur "digital", le vendeur moderne, celui qui travaille en adéquation avec l'époque, avec l'évolution, vous abordera autrement.
Il le fera de manière singulière, personnalisée et unique. Il aura su l'improviser sur le moment, à votre contact.

C'est ça, la première chose à observer pour trouver un vendeur moderne.

@ bientôt pour d'autres astuces...

Bon fin d'été à tous!!



*: Bon, signifiant un vendeur qui saura bien vous renseigner, s'occuper de vous pour vous aider à trouver votre bonheur. Je détaillerai plus tard le rôle et les multiples facettes d'un bon vendeur à l'ère du digital.

Certification autour du thème du commerce

Après quelques mois sans avoir eu le temps de poster un article intéressant, me revoilà et je vais vous expliquer pourquoi.

"Réinventer le commerce"

Telle est ma vision, vous l'aurez peut-être déjà compris. Alors comme c'est un sujet important pour moi, mais aussi pour mon avenir, j'ai décidé de choisir ce sujet pour passer ma certification professionnelle de formateur.

Dès la fin de ma formation suivie chez Cegos (mi avril), je me suis focalisé sur la conception de mon mémoire. Je l'ai construit, structuré puis rédigé avant de le remettre à la mi-juin.
C'est ensuite à Paris dans les locaux de la société Cegos et devant un jury de professionnels, que j'ai soutenu mon projet. Soutenance que j'ai d'ailleurs agrémenté d'une vidéo interactive qui a quelque peu épaté les membres du jury. Je pensais faire quelque chose de déjà vu, mais c'était en fait tout le contraire. Comme quoi oser créer ne peut pas faire de mal.

Pour en revenir à mon mémoire, je suis donc parti de mes réflexions, de mes recherches mais aussi de mes constatations sur le terrain.
Pour rappel, j'ai tout de même passé l'essentiel (la presque totalité) de ma carrière dans le commerce.
J'ai donc une base plus que solide sur laquelle m'appuyer. (Cf partie Qui suis-je)

Mon mémoire, dont voici la couverture, s'intitule "le Commerce à l'ère du Digital". Ce sans surprise qui reprend à peu de chose près le sujet de ce blog.

Ce qui ressort de mes recherches est la nécessité de changer les choses, de modifier les comportements de vente.

J'ai d'ailleurs entièrement construit une action de formation, destinée dans un premier temps à l'intention des commerçants indépendants, pour leur permettre d'adopter ce que j'appelle la "Vente 2.0".

Bien trop souvent, j'entends les commerçants dire que "les clients sont devenus de plus en plus difficiles", ou que "on ne peut pas rivaliser avec internet" ou encore que "Le commerce va disparaître".

Les choses ont changé, les consommateurs ont changé, les règles du "jeu "ont changé, donc il faut s'y adapter.

Créer un lien sincère avec son client devrait être la première étape de la relation commerciale, tout en s'axant sur la qualité du service et une expérience client singulière. 

Une expérience client (habituez-vous à cette notion, elle devient essentiel et pas seulement pour le commerce) en lien avec l'identité commerciale de la boutique (ou de la marque).

Et pour réussir cela, l'humain devra être mis au coeur du processus. Son rôle, comme son management et même sa rémunération devra être repensé. 

J'en vois déjà qui ont décroché, persuadé que je divague complètement.

Il s'agit pourtant là d'un mouvement de fond qui est déjà en marche et que certains ont déjà adopté avec succès. 

Voilà pourtant la base de réflexion/action à adopter pour devenir une "Boutique idéale en mode 2.0".

Alors pour ceux qui sont encore récalcitrant quant à mon approche, allez donc faire un tour à l'Apple Store le plus proche et vous verrez à quoi ressemble un vendeur du futur. Ou plutôt, du présent...